Normal : 16 / Réduit : 13 / Adhérent : 9
Cinq jours en mars est une radiographie de la génération Y, et plus largement
de nos sociétés occidentales. La pièce témoigne d’une certaine volonté de
nos contemporains d’échapper à la monotonie d’un quotidien, d’oublier les
événements qui bouleversent l’équilibre mondial et de se perdre dans un bonheur
éphémère.
Mars 2003, deux jeunes issus de la « génération Y* » se rencontrent dans un
concert rock à Tokyo. Ils s’enferment durant cinq jours dans un « love hotel »
du quartier animé de Shibuya, isolés un instant du chaos quotidien, protégés
par une bulle de plaisir.
* la génération Y définit les personnes nées entre 1980 et 1990.
La presse en parle : « Cinq jours en mars » nous déroute pour instiller avec
humour une réflexion sur nos sociétés occidentales. Distribution et mise en
scène sont à la hauteur d’un texte redoutable et passionnant. Belle occasion de découvrir
une écriture, un metteur en scène et une cie plus qu’inspirés. Les trois coups