CONCERT LYRIQUE

CHOREGIES D’ORANGE

25,00 € à 117,50 €

CONCERT LYRIQUE
CHOREGIES D’ORANGE
Lyrique

  • le 17/07/2010
  • à 21h45

Billets ni repris, ni échangés. Justificatifs demandés sur place pour les tarifs étud.- de 25ans & jeunes - de 18ans. Renseignements (notamment distribution) non contractuels.

  • Direction musicale Giovanni Antonini*
  • Solistes :
    - Natalie Dessay, soprano
    - Juan Diego Florez, ténor*

Programme (sous réserve)

Bellini

  • I Capuleti e i Montecchi
    Ouverture
    Air de Tebaldo : « E sebarta a questo acciaro… »
  • I Puritani
    Air d’Elvira : « Qui la voce sua soave… »
    Air d’Arturo : « A te, o cara… »
  • La Sonnambula
    Air d’Amina : « Ah ! non credea mirarti… »
  • Norma
    Ouverture
  • La Sonnambula
    Duo Amina-Elvino : « Son geloso… »

Donizetti

  • L’Elisir d’amore
    Duo Adina-Nemorino : « Una parola, O Adina… »
  • Don Pasquale
    Ouverture
  • L’Elisir d’amore
    Air de Nemorino : « Una furtiva lagrima… »
  • Lucia di Lammermoor
    Air de Lucia : « Ardon gli incensi… »
  • La Fille du Régiment
    Ouverture
    Air de Tonio : « Ah, mes amis, quel jour de fête… »
    Duo Marie-Tonio : « Quoi, vous m’aimez ?… »
  • Orchestre Philharmonique de Radio France

* Pour la première fois aux Chorégies

Vincenzo Bellini (1801-1835) et Gaetano Donizetti (1797-1848) sont avec Gioacchino Rossini les plus éminents représentants du belcanto italien de la première moitié du XIXe siècle. Pour s’en convaincre, il suffit d’écouter quelques pages célèbres extraites de leurs opéras qui ont perduré depuis leur création au répertoire. De Bellini, on entendra des pages tirées de quatre œuvres emblématiques. D’abord, après l’ouverture, l’air d’entrée de Tebaldo dans I Capuleti e i Montecchi (Les Capulets et les Montaigus, qui conte les amours malheureuses de Romeo et Giulietta - 1830). Suivront deux airs de l’ultime opéra de Bellini composé en 1835, I Puritani (Les Puritains, qui relatent la guerre entre les Puritains et les Stuart en 1649), celui d’Elvira, fille du puritain Gualtiero Walton, auquel répond celui de son fiancé Arturo Talbot. Puis, tirée de La Sonnambula (La Somnambule – 1831), une des pages les plus belles de tout le belcanto, l’air d’Amina, où l’héroïne pleure ses rêves enfuis. Auparavant, Elvino, le fiancé d’Amina, aura exprimé sa jalousie face à l’indifférence de celle-ci. Ces deux airs encadreront l’ouverture de Norma (1831)....
- Philippe Gut -

Posté le 17 juillet 2010