DOGORA
Grand Spectacle

• le 19/04/2011
• à 20h30

Pour orchestre et chœur d’Etienne Perruchon

• Direction : Roland Audibert
• Chef de chœur : Florence Dally
• Coordination artistique : Alain Pavard
• Orchestre Symphonique Azuréen
• Ensemble Orchestral et chœur du CRD de Cannes
• Chœur Philharmonique de Nice
• Corou de Berra

Préparez-vous pour une grande fresque musicale en format cinémascope !

Lever de rideau sur un projet exceptionnel que le talentueux Etienne Perruchon a créé sur le grand plateau de la scène nationale d’Annecy (Haute-Savoie) : la reprise musicale de Dogora, enivrante symphonie née de la complicité avec le réalisateur Patrice Leconte. Trois cents musiciens et choristes au service d’une incomparable puissance émotionnelle, une musique tempête, une musique frisson.

Parce que la musicalité des mots est au cœur de toutes ses créations, Etienne Perruchon a inventé un langage imaginaire doté de toutes les influences vocales européennes, une mélodie comme une synthèse de toutes ses émotions intimes,parce qu’Etienne Perruchon est attaché à ses racines avec force et simplicité.

Au départ de cette aventure, il y a une œuvre de 28 minutes pour choeurs d’enfants, chœurs mixtes et orchestre inspirée de chants que j’avais commencé à composer pour un spectacle de théâtre mis en scène par la compagnie Brozzoni d’Annecy. Ces chants sont écrits dans une langue imaginaire, le « Dogorien », conçue pour leur donner un immense réalisme, faisant appel à des procédés quasi syntaxiques mais parfaitement imaginaires. Dogora est une œuvre purement émotionnelle. C’est la musique qui donne sens à l’œuvre. Le texte étant incompréhensible. Quand j’ai rencontré Patrice Leconte et qu’il a découvert Dogora dans sa première version de 28 minutes, je lui ai fait part de mon rêve depuis toujours d’associer des images à cette musique. Son enthousiasme pour mon œuvre n’a fait qu’accentuer ce désir. Nous avons pensé qu’un film pourrait être fait si je réécrivais l’œuvre pour qu’elle dure 70 minutes. J’étais heureux de pouvoir enfin développer ces thèmes qui me sont si chers et en inventer de nouveaux pour construire une vraie grande suite pour chœur et orchestre en mettant en avant les voix d’enfants. Le résultat du film de Patrice Leconte est au-delà de mes espérances et de ce que j’imaginais. Quel bonheur de savoir que mon œuvre est maintenant porteuse d’une si belle aventure artistique et humaine dont le seul message est, comme le dit Patrice Leconte : « la vie est plus forte que tout.
- Etienne Perruchon -