Festival des Musiques Insolentes

Tarifs adultes : 15 euros / 11 euros
Tarifs Jeunes : 10 euros / 6 euros
Réservations : Théâtres en Dracénie 04 94 50 59 59

MARDI 18 OCTOBRE :

LE NOM COMMUN (Marseille)
Cati Delolme, Thibaut Boislève, Jacques Boyer, Francis Coulaud,
Emmanuel Lescoulié, Bertrand Lombard
Le groupe vocal le nom commun a été fondé en 2005 et rassemble des artistes issus du chant, du théâtre et de la danse, le nom commun développe une polyphonie contemporaine, imprégnée par ces différentes disciplines artistiques, mais aussi par les formes anciennes et traditionnelles de polyphonie vocale et par la pratique de l’improvisation.

MIQUEU MONTANARO / CATHERINE JAUNIAUX / CARLO RIZZO (Fr./Bel./It.)
« .G »
Direction artistique : Miquèu Montanaro : galoubet tambourin
Collaborations :
Carlo Rizzo : tamburello
Catherine Jauniaux : voix
Niké Nagy : performance visuelle & voix
William Petit : mise en espace, chorégraphie
Serge Ortega : technicien son
En puisant à la source des musiques traditionnelles de Provence et en les détournant, Miquèu Montanaro se confronte à 3 expériences sonores : Celle de Carlo Rizzo, qui a fait du tamburello du sud de l’Italie un instrument universel qui trouve sa place dans la musique contemporaine et le jazz. Leur collaboration dans l’album Alazar avait déjà marqué un temps fort dans l’histoire de la Cie Montanaro.. Celle de Catherine Jauniaux, qui a su par sa voix inventer un langage qui touche à la fois les chants populaires et celle de Niké Nagy, dont le geste pictural devient musical par l’amplification de ses brosses, ses pinceaux et des 3 toiles qui délimitent l’espace scénique.
Coproduction : Le Chantier, Théâtres en Dracénie, Le Guingois avec le soutien de la Spedidam, du CNV et de l’ADAMI

MERCREDI 19 OCTOBRE :
MAZEN KERBAJ (Liban)
Trompettiste, dessinateur et peintre libanais, né en 1975 à Beyrouth. Après des études au lycée franco-libanais de Beyrouth il commence à publier ses dessins dans différentes revues libanaises. En mars 2000 il publie des œuvres personnelles dans son Journal 1999, un journal intime sous forme de bande dessinée. En cette même année il joue pour la première fois en concert au Strike’s pub de Beyrouth avec la saxophoniste libanaise Christine Sehnaoui. Il est un des fondateurs de la scène d’improvisation au Liban.
LIU FANG (Chine)
Fille du peuple Bai, native de la province du Yunnan qui jouxte le Laos, le Vietnam et la Birmanie, Liu Fang a commencé son apprentissage du pipa à 6 ans, avec un instrument offert par sa mère, actrice d’opéra traditionnel. A neuf ans, elle donne son premier concert et à onze, elle exécute un solo de son cher instrument devant la reine Elisabeth d’Angleterre. Nous sommes en 1985, Liu Fang ne va pas tarder à rejoindre le conservatoire de Shanghaï puis, ayant rencontré l’homme de sa vie, elle va le suivre à Berlin et au Canada. Là, Liu Fang trouve une terre d’accueil qui lui permet de perpétuer son art, d’asseoir sa virtuosité mais aussi de la confronter à celle d’artistes venus d’autres cultures, avec lesquels elle bâtit des ponts dans un alliage inédit.

Posté le 18 octobre 2011