NOUVEAU CIRQUE

8€ à 32€

- SALLE PIERRE BRASSEUR -


OPER OPIS
Nouveau cirque

  • du Mardi 25 au Jeudi 27 Mai 2010
  • à 19h30
  • à 20h30 - Mercredi 26
  • durée : 1h10

L’HISTOIRE
Avec beaucoup de tendresse et d’humour, Öper Öpis raconte les petits et grands drames des relations au quotidien, ce quotidien dont chacun sait qu’il peut très vite faire perdre pied à n’importe qui. Le lieu de l’action est une scène instable qui, à chaque mouvement des personnages, peut basculer vers le meilleur ou le pire. A partir de cette scénographie inédite, on suit les aventures (extra)ordinaires de gens formant un couple. Ces conjoints quelconques se retrouvent confrontés à un troisième élément inconnu, à une personne ou une situation étrangère qui va les déstabiliser.

  • Mise en scène et décor Zimmermann & de Perrot
  • Avec
    - Blancaluz Capella
    - Victor Cathala
    - Rafael Moraes
    - Dimitri de Perrot
    - Kati Pikkarainen
    - Eugénie Rebetez
    - Martin Zimmermann
  • Composition musique Dimitri de Perrot
  • Chorégraphie Martin Zimmermann
  • Dramaturgie Sabine Geistlich
  • Lumière Christa Wenger
  • Son Andy Neresheimer
  • Costumes Franziska Born
  • Œil extérieur Fritz Bisenz
  • Production Schauspielhaus - Zürich, Théâtre Vidy-Lausanne E.T.E., Théâtre de la Ville - Paris, Grand Théâtre de Luxembourg, Pour-cent culturel Migros, La Filature - Scène Nationale Mulhouse, Le Merlan - Scène Nationale - Marseille, Le Maillon - Théâtre de Strasbourg - Scène Européenne, La Ferme du Buisson - Scène Nationale Marne-la-Vallée, Equinoxe - Scène Nationale Châteauroux, Opéra de Dijon, Theater Chur, London International Mime Festival, Verein Zimmermann & de Perrot , avec le soutien de la Ville de Zurich - Culture, Service aux affaires culturelles du Canton de Zurich, Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture, Ernst Göhner Stiftung, Stanley Thomas Johnson Foundation, Fondation Sophie et Karl Binding, SSA-Société Suisse des Auteurs

CE QU’ILS EN PENSENT
Le monde de Martin Zimmermann et Dimitri de Perrot est burlesque, absurde et férocement intelligent. Une merveille. La scénographie, constituée par une scène mouvante, pentue et périlleuse, renforce cette confusion. Elle est un tyran, exigeant des interprètes qu’ils s’adaptent à des règles absurdes, à un équilibre toujours précaire. Ce délire insensé est un enchantement, une débauche d’idées burlesques, de poésie onirique et d’intelligence aiguë où se débattent d’improbables personnages qui défient les lois du théâtre.
- Raphaël de Gubernatis, Le Nouvel Observateur -

Le plateau ivre. Sur une scène qui tangue, des couples se font et se défont. L’amour, l’émotion naissent du déséquilibre. Vêtus de rouge cerise, de vert pomme ou de jaune canari, les personnages affichent des caractères diversement bien trempés qui ne demandent, évidemment, qu’à se mélanger. Sauf que le moindre rapprochement de l’un vers l’autre menace la stabilité de tous et de chacun. Qu’importe. Les couples vont se faire et se défaire, se jauger, se séduire, se jalouser, rouler des hanches ou des mécaniques, s’envoyer en l’air ou sur les roses, au propre et au figuré. Sur la scène à bascule d’Öper Öpis, entre les jeux sonores de de Perrot et les objets usuels que Zimmermann a toujours préférés aux accessoires de cirque, les fabuleux couples qu’ils invitent contaminent notre imaginaire de la plus touchante manière, déployant une colossale énergie à nous raconter un monde sentimentalement mouvant.
- Cathy Blisson, Télérama -

Le cirque théâtral de Martin Zimmermann et Dimitri de Perrot est une épatante surprise. Un roulis aléatoire dope Öper Öpis ("quelqu’un, quelque chose" en suisse allemand) qui fourmille d’idées. Le plateau repose sur un pivot central qui le rend aussi mobile qu’une assiette chinoise sur sa tige. Oscillant entre le cirque, le théâtre, la danse et le concert, ce spectacle régénérant a remporté un grand succès, en février dernier, au Théâtre des Abbesses à Paris. Succès mérité, car il fait de l’art de vivre de guingois un jeu merveilleux et drôle. Ce qui se passe sur l’assiette chinoise est renversant. Toute une gamme burlesque se décline à travers les personnages, le mobilier, quelques chaises, des briques... On n’a pas assez d’yeux pour tout saisir au vol. La fantaisie de Öper Öpis campe entre quotidien et incongruité. C’est magique !
- Rosita Boisseau, Le Monde -

SITE DE LA COMPAGNIE
www.zimmermanndeperrot.com

Posté le 25 mai 2010