SUCCESS + NASSER
Musique Electronique

• le 05/11/2010
• à 21h00

• SUCCESS
Guidé par l’imprévisible Mister Eleganz, crooner céleste, looser magnifique, croisement de Dean martin sous amphétamines et d’Iggy Pop accompagné des Stooges, Success charme, intrigue, provoque bref ne laisse jamais indifférent. La légende démarre fin 2007 avec le tube « Girl from New Orleans » immédiatement repéré par RCA/ Columbia U.K et l’underground musical de Manchester (Areebo, Rawfish records). Ce titre tisse sa toile sur le web et se voit remixé par une cinquantaine de dj’s & producteurs du monde entier. Depuis deux ans, Success traverse la France. Leur performance scénique, mix de rock’n’roll et d’électro, marque au fer rouge les festivals avant-gardistes, Transmusicales, ArtRock, 3 éléphants ou encore Marsatac. Leur premier E.P. sorti chez Platinum records « Hard to come back » s’est retrouvé sur la B.O.F de « Zombieland » qui atteignit début octobre le haut du box-office nord-américain.

• NASSER
Longtemps bastion imprenable du rap français et d’une scène électro reconnue, Marseille dévoile aujourd’hui une nouvelle génération de musiciens mutants avec, notamment, Nasser. Formé il y a à peine deux ans, ce trio composé de Nico et Romain, le tandem de réalisateurs nommé Double Zéro qui a fait déraper des campagnes pour Peugeot, Nike ou Converse, et de Facteur, un musicien surdoué qui a fait ses preuves au travers de maxis reconnus dans le milieu électro, Nasser a replacé la cité phocéenne sur la cartographie des villes qui bougent
Leur impact sur scène est devenu une véritable marque de fabrique : en mélangeant habilement le rock et l’électro et en intégrant également divers courants comme l’électroclash ou la techno turbinée, Nasser a imposé un style unique. Le résultat est sans appel : c’est un carton !
Mais un autre élément définit Nasser : son potentiel audiovisuel. Les teasers, captations de lives incandescents, ou les pubs détournées ingénieusement constituent la preuve en images d’un talent qui pourrait bien les amener prochainement à chatouiller les étoiles. En attendant ils font un saut à L’Escale qui les avait accueillis en avril dernier en résidence pour répéter leur nouveau live.