"UNE BIERE DANS LE PIANO" COMEDIE DE GERARD LEVOYER A NICE AU THEATRE DE LA CITE

15 et 12 €

La Troupe du Rhum et L’Entrée des Artistes
avec le soutien du Conseil Général des A.M,
des communes de Villeneuve-Loubet, du Bar sur Loup et de Falicon
Présentent
UNE BIERE DANS LE PIANO
Comédie burlesque de Gérard Levoyer
Mise en scène, scénographie et interprétation : Denis Duthieuw et Philippe Lecomte

Du 25 au 27 mars 2011
Vendredi et samedi à 21h et dimanche à 15h
THEATRE DE LA CITE
3, rue Paganini - NICE

Réservations : 04 93 16 82 69
FNAC, www.fnac.com, CARREFOUR, GEANT CASINO, AUCHAN, VIRGIN, LECLERC,
GALERIES LAFAYETTE VOYAGES, CULTURA, www.ticketnet.fr
Tarifs : 15 euros ; Tarif réduit : 12 euros

Deux employés modèles, Etienne Famechon et Jacques Courlier, collègues depuis des années, astreints à des tâches simples et répétitives, entrent en conflit pour une gomme que l’un possède et dont l’autre a besoin.

Ce conflit, absurde comme la plupart des désaccords, symbole de toutes les luttes de pouvoir, dégénère au point de devenir un affrontement terrible, féroce, drôle mais sans concession, inexorable !

A travers « Une bière dans le piano », Gérard Levoyer débordant d’un humour acide et féroce, tisse une satire du monde du travail, exagérant outrageusement les traits pour mieux en faire ressortir la réalité : la compétition, le harcèlement, la perversion sur les êtres qu’exercent le pouvoir et la supériorité hiérarchique...

Un affrontement burlesque et terriblement drôle !

LA PRESSE « Un humour acide, des situations grinçantes. On rit, on sourit, transporté dans cet univers machiavélique des employés dont la frustration n’a d’égal que l’ingéniosité que chacun déploie pour piéger l’autre, l’amener sur le terrain de la confiance pour mieux ensuite le provoquer et le dominer. Les rapports dominant dominé sont en évolution constante dans ce décor au mobilier créé par les acteurs et metteurs en scène eux-mêmes, des compagnies « Entrée des artistes » et « La Troupe du Rhum », Philippe Lecomte et Denis Duthieuw (ce dernier nous a déjà fait beaucoup rire dans « Couple ouvert à deux battants ») : de l’ordre, de la fonctionnalité en même temps qu’un éclairage donné à cet espace et une disposition des meubles savamment étudiée, qui met en valeur le jeu et les inépuisables ressources des personnages qui se donnent et se métamorphosent sans compter ». René HAUGADE, Le Patriote janvier 2007.

Posté le 25 mars 2011