VERDI : RIGOLETTO

40ème CHOREGIES D’ORANGE

46,50 à 250,00 €

VERDI : RIGOLETTO
40ème CHOREGIES D’ORANGE
Opéra

  • le 02/08/2011
  • à 21h30
  • Durée du spectacle : 2h30

En cas de mauvais temps, la séance du 30 juillet sera reportée au 31 & celle du 2 août au 3 août (même heure)

Opéra en un prologue & trois actes de Giuseppe Verdi

  • Livret de Francesco Maria Piave d’après Le roi s’amusede Victor Hugo (Editions musicales Salabert-Ricordi)
  • Direction musicale : Roberto Rizzi-Brignoli*
  • Mise en scène : Paul-Emile Fourny
  • Scénographie/Costumes : Louis Desiré
  • Eclairages : Patrick Meeüs*
  • Chorégraphie : Elodie Vella*

Distribution (sous réserve)

  • Gilda : Patrizia Ciofi
  • Maddalena : Marie-Ange Todorovitch
  • Giovanna : Cornelia Oncioiu*
  • La Contessa di Ceprano : Marie Karall*
  • Il Paggio : Julie Robard-Gendre*
  • Rigoletto : Leo Nucci*
  • Il Duca di Mantova : Vittorio Grigolo
  • Sparafucile : Mikhail Petrenko*
  • Monterone : Roberto Tagliavini*
  • Matteo Borsa : Stanislas de Barbeyrac
  • Il Conte Ceprano : Jean-Marie Delpas
  • Marullo : Armando Noguera

* Pour la première fois aux Chorégies

  • Orchestre National de France
  • Chœurs de
    - l’Opéra-Théâtre d’Avignon et des Pays de Vaucluse
    - l’Opéra de Toulon Provence-Méditerranée
    - l’Opéra de Tours

Rigoletto (dont le titre original était La Maledizione) est une commande du Théâtre de La Fenice de Venise, où il fut créé le 11 mars 1851. Si l’action se situe dans un cadre historiquement daté - la Ville de Mantoue au XVIe siècle - cela importe moins que le drame qui s’y joue : celui d’un père, Rigoletto, bouffon du Duc de Mantoue, qui veut protéger sa fille, Gilda, des agressions du monde courtisan dont il ne connaît que trop les méfaits ; or, celle-ci est amoureuse d’un jeune homme qui n’est autre que le Duc de Mantoue lui-même, qui vole de femme en femme - quitte à en dénoncer l’inconstance dans un air fameux (La donna è mobile). Lorsqu’il l’apprend, et comprenant que le Duc a probablement abusé de sa fille, Rigoletto décide de se venger en faisant assassiner son maître. Cependant, Gilda en dépit de la versatilité avérée de celui qu’elle aime, veut le sauver et tombe sous les coups du spadassin Sparafucile, recruté par Rigoletto. Ainsi se trouve réalisée la “malédiction” lancée par Monterone qu’il avait raillé naguère dans des circonstances semblables.

Posté le 2 août 2011