La Troupe du Rhum et Les Feuilles d’Or
avec le soutien de la commune de Villeneuve-Loubet et du Conseil Général des A.M
Présentent COUPLE OUVERT A DEUX BATTANTS
Comédie de Dario Fo et Franca Rame
Adaptation et traduction Toni Cecchinato et Nicole Colchat
Mise en scène : Stéphane Eichenholc
Avec Denis Duthieuw et Claire Tuloup-Duthieuw
Plus de 180 représentations à ce jour !
Du 3 au 13 juillet 2013 (du mercredi au samedi) à 21h
THEATRE LE TRIBUNAL
1 place Amiral Barnaud - 06600 ANTIBES
Réservations > 04 93 34 11 21 / 06 43 44 38 21 /contact@theatredelamarguerite.fr / www.theatre-tribunal.fr
FNAC, www.fnac.com, CARREFOUR, GEANT CASINO, AUCHAN, VIRGIN, LECLERC, GALERIES LAFAYETTE, CULTURA, www.ticketnet.fr
Plein tarif : 15 euros / Tarif réduit : 13 euros*
Tarif plus que réduit : 11 euros**
*séniors, groupes (10 personnes), familles nombreuses, CE, adhérents théâtre de la marguerite, médiathèques CASA, pôle emploi, conservatoire d’Antibes
** enfants (- de 12 ans), pré-vente CE, minimas sociaux, carte LOL, étudiants
Ce spectacle a été joué à guichets fermés aux Festivals d’Avignon Off 2005 et 2006 et a encore remporté un très gros succès au Festival Off 2009.
Sur le thème du couple et de ses contradictions, Dario Fo et Franca Rame réussissent avec « Couple ouvert à deux battants » une comédie satirique drôle et vive qui décortique la traditionnelle scène de ménage, poussant jusqu’à la caricature l’hypocrisie du mâle, la rouerie de la femelle, la ruse des deux.
Un homme trompe sa femme, jusque là, rien d’anormal. Ils représentent, finalement, le joli couple fermé, dit "traditionnel". Sa femme, follement désespérée, tente, avec enthousiasme, drôlerie et dynamisme de se suicider, sans accepter pour autant de se laisser suicider par son mari. Sourd à son appel au secours, le mari lui propose une union libre dans laquelle, « Ô ! Liberté ! », il serait possible d’aller voir ailleurs à son gré. C’est l’exceptionnel couple ouvert !
La Presse
« Aux Festivals d’Avignon 2005 et 2006, ils ont créé des embouteillages dans la rue pavée des Teinturiers où ils s’affrontaient avec une énergie époustouflante et drôlatique... Stéphane Eichenholc signe ici sans doute l’une de ses mises en scène les plus abouties, les plus culottées. Les deux comédiens déploient toute la violence de leurs énergies et de leurs talents. »
Jean-Louis Châles, La Semaine des Spectacles, septembre 2007
« Couple ouvert à deux battants a déchaîné les foules et parcours désormais les théâtre de notre région...La mise en scène de Stéphane Eichenholc s’amuse de la méchanceté jubilatoire des auteurs, ne prend jamais la tangente, bien au contraire... Un spectacle revigorant, électrisé par des dialogues crus, cinglants, et dopé par des comédiens visiblement heureux de nous ouvrir les portes de l’Enfer. Celui du couple qui ne peut plus se supporter. » Jean-Louis Châles, La Semaine des Spectacles, octobre 2005
« Le rythme est très soutenu. Pas le temps de s’ennuyer tant les rebondissements sont autant de ressorts dramatiques qui font de ce vaudeville un divertissement qui fait rire jaune parfois. Stéphane Eichenholc a su donner toute sa mesure à ce texte satirique sur la drôle de condition humaine et ses archétypes. On est sacrément tenu en haleine. D’ailleurs, le public ne se trompait pas, lui, qui, cet été, courait voir cette « Troupe du Rhum » et des « Feuilles d’Or » au dernier Festival d’Avignon off. En espérant que vous fassiez de même… » René Haugade, PCA Hebdo, septembre 2005
« Dario Fo, avec la complicité habituelle de Franca Rame, pousse jusqu’à l’extrême les situations les plus scabreuses, ausculte avec ironie les détails quotidiens les plus triviaux… Denis Duthieuw, flanqué d’une moustache arrogante, se vautre avec talent dans le machisme stupide d’un homme persuadé de sa bonne foi, Claire Tuloup explose de rage bafouée dans les vengeances dérisoires d’une femme qui ne demande qu’une chose : être aimée.
On rit beaucoup face à ces vérités dérangeantes que Dario Fo nous envoie en pleine figure. Les spectatrices jubilent…Leurs compagnons jaunissent. La Troupe du Rhum et Les Feuilles d’Or sortent vainqueurs de ce combat à peau nue, armé de dialogues taillés dans le roc de nos lâchetés. »
Jean-Louis Châles, La Marseillaise, Festival d’Avignon 2005
« Un texte de Dario Fo et de Franca Rame, cela promet d’être explosif. Et ça tombe bien : les comédiens et metteur en scène de « Couple ouvert à deux battants » débordent d’énergie. Un spectacle bourré de peps, d’humour et d’esprit. La comédienne Claire Tuloup est fascinante dans la peau d’Antonia. Elle joue parfaitement le sarcasme, l’ironie. Toute sa composition relève de la perfection ; son ton et ses gestes sont en accord total avec le texte de Dario Fo. Denis Duthieuw lui donne la réplique avec conviction, endossant le costume du macho italien qui lui va comme un gant. Le résultat, une pièce juste qui va droit au but, très convaincante et servie par d’excellents comédiens. » Juliette Rouleaux, e-gazette du Festival d’Avignon 2005
« Couple ouvert à deux battants, c’est tout le soulèvement spontané de Franca Rame esquivé par la friponnerie de Dario Fo. Il en résulte une comédie de mœurs à l’italienne, à la fois farfelue et amère, cruelle et délicate. La mise en scène de Stéphane Eichenholc renchérit le dynamisme du texte. L’homme, c’est Denis Duthieuw. Le macho en puissance, la perfidie multipliée par l’infidélité, c’est lui. En face, Claire Tuloup riposte. Ses atouts ? La grâce et la douceur, la beauté et l’insouciance. Bref, une femme. Couple ouvert à deux battants c’est deux personnalités symétriques, deux icônes, un homme, une femme, et au final : un spectacle électrique. Génial. » Emilie Imbert, Charliescope mars 2005
« Couple ouvert à deux battants aborde joyeusement le thème de la scène de ménage. La mise en scène de Stéphane Eichenholc pointe sans s’appesantir sur l’absurdité des situations de manière très divertissante. Denis Duthieuw dans son personnage de composition, un « Macho » de mauvaise fois dans toute sa splendeur est parfait sans exagération. Les deux comédiens relèvent superbement le défi de nous faire rire, ce qui n’est pas donné à tout le monde. » Annick Manbon, Nice-Matin avril 2005